Dossier : Les meilleures montres à moins de 1 000 €
Si 1 000 € ne suffiront pas à vous offrir la meilleure montre, loin de là, cela ne signifie pas pour autant que vous ne pourrez pas vous procurer une bonne, voire une excellente montre. En choisissant bien, en faisant des recherches, vous trouverez un garde-temps digne d’intérêt. Sinon, vous pouvez nous laisser le soin de vous conseiller quelques modèles.
Timex Q Timex Reissue TW2T807007U
Vous aimez les modèles rétro, les tons bleu et rouge vifs et vous ne souhaitez pas dépenser plus de 200 € pour une montre ? Alors la Timex Q Timex Reissue américaine est faite pour vous. Ayant gardé un souvenir nostalgique de sa Q Timex de 1979 et de son succès à l’époque, Timex était impatiente de renouer avec ce succès. L’association d’une esthétique remarquable et d’un prix abordable a réussi à raviver la Q Timex.
La montre de 38 mm s’inspire de toutes les montres suisses les plus populaires de l’époque, de la Rolex GMT-Master II à la mythique Audemars Piguet Royal Oak. On pourrait parler de plagiat, et c’est effectivement le cas, mais quand l’acte a été accompli il y a près d’un demi-siècle, et avec un prix aussi bas, disons qu’il y a prescription. D’ailleurs, aucune autre Timex n’a autant marqué les esprits.
Bien sûr, pour moins de 200 €, il ne faut pas s’attendre à trouver ce qui se fait de mieux en matière d’horlogerie. Les maillons du bracelet sont en métal plié et aiment faire connaissance avec les poils de votre bras ; la glace est en plastique et finira probablement plus rayée qu’un vieux vinyle ; et bien sûr, la montre est animée par un mouvement à quartz, qui offre au moins l’avantage de pouvoir facilement changer la pile soi-même.

Mais lorsqu’une montre est aussi bonne pour un prix aussi bas, tout cela n’a pas vraiment d’importance. C’est pourquoi vous la verrez dans des collections aux côtés de montres coûtant dix, voire vingt fois plus cher. C’est une jolie montre, un véritable morceau d’histoire horlogère et elle vous coûtera moins cher qu’un repas pour deux dans un grand restaurant. Imbattable !
Tissot PRX T137.410.11.041.00
Bon, supposons que la Timex vous convienne… mais pas tout à fait. Supposons qu’elle soit un peu en deçà de ce que vous attendez d’une montre, et que vous acceptiez de payer 200 € de plus pour y remédier. Vous voulez une montre fabriquée en Suisse, de qualité supérieure et de tradition horlogère, le tout pour moins de 400 €.
Un défi de taille, pourrait-on penser, de tripler les prestations de la Timex Q en doublant seulement le prix, mais Tissot est là pour le relever avec la PRX. Vous voulez une montre suisse ? La voici. C’est écrit sur le cadran. Les Suisses ne plaisantent pas avec ça : au moins 60 % de la valeur de la montre doit être fabriqué dans le pays, alors quand ils le mentionnent, c’est du sérieux. Sinon, devinez quoi ? C’est la prison.
Donc, c’est une montre fabriquée en Suisse. Génial. Et la qualité ? Pour être honnête, le niveau de finition de cette PRX ne correspond pas du tout à son prix de 375 €. Il semble même qu’elle devrait coûter beaucoup, beaucoup plus cher. Les maillons sont solides, le boîtier de 40 mm est bien travaillé, le cadran est rehaussé d’une touche de bleu soleillé et les aiguilles et les marqueurs sont d’un brillant éclatant. Loin de ressembler à une Timex hors de prix, cette montre s’apparente plutôt à une Rolex Oysterquartz bon marché.

Oui, c’est une montre à quartz, mais c’est une montre suisse. Si vous recherchez un peu de tradition horlogère avec cette montre, vous ne la trouverez pas dans le mouvement, mais dans la marque. Tissot fabrique des montres depuis 1853, comme l’atteste le cadran, ce qui en fait l’un des plus anciens horlogers de Suisse. Et si vous souhaitez absolument la cerise sur le gâteau avec un mouvement mécanique suisse, un supplément de 275 € vous sera demandé.
Furlan Marri Havana Salmon Ref.1031-A
Pour rester dans le domaine du quartz, peut-être vous intéressez-vous aux chronographes ? Il y a quelque chose de très agréable visuellement dans la combinaison de poussoirs et de sous-cadrans qui font qu’une montre chronographe a de l’allure, mais généralement pour s’en procurer une, il faudra débourser une petite fortune. Heureusement, la marque Furlan Marri, qui a démarré grâce à une campagne de financement participatif, a pensé à vous.
S’appuyant sur un Seiko VK64 mecaquartz, un mouvement à quartz doté d’un module de chronographe mécanique pour une sensation de chronographe optimale, et s’inspirant dans une large mesure du catalogue de Patek Philippe, Furlan Marri offre au commun des mortels la possibilité de goûter au luxe, sans se ruiner pour autant. Pour seulement 500 €, vous pouvez porter une montre qui semble bien plus chère qu’elle ne l’est. C’est le rêve !

Ajoutez à cela un diamètre agréable de 38 mm avec des proportions particulièrement harmonieuses et vous obtenez une montre qui semble en faire beaucoup plus que son prix ne le laisserait supposer. Elle semble tout droit sortie d’une capsule temporelle enfouie dans les années 1930, sans les habituelles exagérations et autres fantaisies pratiquées par les fabricants actuels pour adapter les rééditions vintage aux dimensions modernes.
Hélas, la popularité des montres Furlan Marri est telle qu’il n’en reste plus, mais la marque a promis qu’elle en produira de nouvelles. Et si vous ne pouvez vraiment pas vous passer d’une montre purement mécanique, il paraît que des exemplaires seront bientôt disponibles.
Baltic BICOMPAX 002
Si l'attente des nouvelles montres Furlan Marri vous semble trop longue et que vous voulez un chronographe mécanique d’inspiration vintage à votre poignet pour moins de 1 000 €, la marque française Baltic a ce qu'il vous faut. La Bicompax 002 reprend le style des années 1930, avec un cadran à secteurs contrastés et des finitions texturées qui devraient faire craquer tous les amateurs de montres pour hommes.
Le tout ressemble à s’y méprendre à la Furlan Marri et, à environ 600 €, son prix est également très similaire. Alors, comment Baltic a-t-elle réussi ce que Furlan Marri n’a pas pu faire, à savoir équiper son chronographe d’un véritable mouvement mécanique ? La réponse à ce mystère se trouve en Chine, avec le mouvement à remontage manuel ST1901 de Seagull.

Avant de bondir, sachez que Seagull fabrique des mouvements de montres en Chine depuis 1955 et que, même s’ils ne sont pas les mieux finis ou les plus performants, ils sont généralement robustes et fiables, et pour ce prix, vous ne trouverez pas grand-chose d’autre.
Si cela vous rebute, peut-être que ceci vous fera changer d’avis : moyennant un petit supplément, vous pouvez opter pour un fond transparent sur le boîtier de 38 mm qui vous permettra d’admirer le mouvement de vos propres yeux. Et croyez-moi, cela vaut le coup, car le ST1901, à remontage manuel, est plutôt agréable à regarder et constitue la touche vintage parfaite pour une montre dont l’inspiration remonte si loin dans le temps.
Baltic MR01 Salmon
Mais vous recherchez peut-être quelque chose d’encore plus raffiné pour maximiser votre budget de 1 000 €. Vous voulez non seulement de la belle horlogerie à l’extérieur, mais également à l’intérieur. Eh bien, la Baltic MR01 pourrait bien être la perle rare, car ce qu’elle propose pour le prix annoncé de 650 € est à couper le souffle.
Les meilleurs horlogers ont souvent tendance à privilégier les montres extra-plates, ce qui se traduit généralement par l’intégration d’un micro-rotor, une version réduite de la masse de remontage traditionnelle, qui s’intègre parfaitement dans le mouvement lui-même. Mais ce type de rotor est généralement très coûteux et ne peut en aucun cas être intégré à une montre de ce prix.

Enfin, en règle générale seulement, car Baltic s’est associée à une autre manufacture horlogère chinoise pour vous proposer le calibre 5000A, ajoutant ainsi la mention MR au nom de la MR01. Le mouvement à micro-rotor est étonnamment séduisant et remarquablement fin, ramenant le boîtier de 36 mm à une épaisseur minuscule de 9,9 mm. Ce n’est certainement pas la plus grande des montres, mais si vous recherchez un modèle habillé et que vous ne voulez pas dépenser une fortune, il s’agit d’une candidate très sérieuse.
Longines Conquest Heritage L1.611.4.52.2
Il est étonnant que Longines ne jouisse pas du même statut que des horlogers beaucoup plus chers. Fondée avant même Patek Philippe, la marque a fabriqué son premier mouvement manufacture en 1867, a remporté de nombreux prix et est même considérée comme étant à l’origine de l’industrialisation de l’horlogerie en Suisse, où l’on s’en remettait auparavant à des artisans indépendants.
La précision obtenue grâce à l’introduction des machines-outils a non seulement jeté les bases de l’horlogerie telle que nous la connaissons aujourd’hui, mais a également permis à Longines de fabriquer certains des mouvements les plus précis au monde, rivalisant avec des maisons comme Vacheron Constantin ou Patek Philippe.
Ce niveau de précision a permis à Longines de signer des contrats avec l’US Navy, la Fédération aéronautique et même avec Charles Lindbergh, pionnier de l’aviation et premier à avoir traversé l’Atlantique en solitaire et sans escale. La marque s’est même illustrée en fabriquant le premier mouvement chronographe conçu pour une montre-bracelet, le 13.33Z, et le premier avec fonction flyback, le 13ZN.

Il peut paraître paradoxal que Longines ne jouisse pas d’une plus grande considération aujourd’hui au regard de son histoire. Mais cela peut jouer en votre faveur, puisque vous pouvez acquérir une montre de l’un des pionniers les plus influents de l’horlogerie pour moins de 1 000 €.
Rendant hommage à une collection présentée pour la première fois en 1954, la Conquest Heritage a tout d’une montre vintage, sans être vraiment ancienne, bien sûr. Vous trouverez un délicat boîtier de 35 mm, des aiguilles dauphine angulaires, des index doubles et un simple cadran noir. L’ajout de la date est la seule différence notable avec le modèle d’origine.
En tant que membre du Swatch Group, Longines ne propose plus de calibre manufacture comme c’était le cas auparavant. C’est un ETA 2824 qui se charge de donner l’heure, mais pour moins de 1 000 €, cette montre conserve une grande valeur patrimoniale et une qualité horlogère indéniable.
Oris TT1 WilliamsF1 Team Pointer Date 754 7585 41 64 RS
Si vous voulez quelque chose d’un peu plus dynamique, jetons un œil du côté d’Oris. Contrairement aux idées reçues, cette marque n’a rien d’ordinaire. Fondée un an avant Rolex, elle était l’une des plus grandes maisons horlogères du début des années 1900, avec des centaines d’employés répartis sur six sites de production, dont sa propre usine de galvanoplastie.
Cette maison, dirigée par Jacques-David LeCoultre pendant une décennie (oui, le même qui a cofondé Jaeger-LeCoultre), fabriquait ses propres échappements et a obtenu plus de 200 récompenses pour la précision de ses montres. Dans les années 1960, l’entreprise produisait plus de 1,2 million de montres par an, employait plus de 800 personnes et avait même développé ses propres outils et machines. Elle figurait parmi les dix plus grandes maisons horlogères au monde.

Comme beaucoup d’horlogers, Oris a subi les effets dévastateurs de la technologie à quartz, qui a réduit les effectifs de la marque à quelques dizaines de personnes seulement. À l’époque, elle appartenait au prédécesseur du Swatch Group, mais après un rachat par sa direction, Oris est redevenue indépendante et sa première décision a été d’abandonner le quartz pour se recentrer exclusivement sur l’horlogerie mécanique.
Bien que l’entreprise ait survécu, elle n’a jamais réussi à retrouver sa gloire d’antan. Voyons le bon côté des choses, cela veut dire que ses montres sont plus abordables aujourd’hui. Certaines de ses créations sont d’ailleurs exceptionnelles, comme cette WilliamsF1 Team Pointer Date. Elle reprend une complication adoptée pour la première fois par Oris dans les années 1930, la date par aiguille centrale, et l’agrémente de petites touches inspirées de la F1.
C’est une montre qui se distingue nettement de la Longines traditionnelle avec son cadran texturé arborant le logo de l’écurie de Frank Williams et son boîtier en acier de 42 mm doté de cornes articulées pour maintenir en place le bracelet en caoutchouc en forme de pneu de F1. Si vous recherchez une montre sportive au look unique pour moins de 1 000 €, c’est un excellent choix.
Ball Engineer II Marvelight NM2026C-S6-BE
En 1891, à Kipton, dans l’Ohio, la montre d’un conducteur de train américain s’est arrêtée pendant quatre minutes, ce qui a entraîné une collision frontale entre deux trains, causant la mort de huit personnes. Déterminées à éviter qu’un tel drame ne se reproduise, les autorités ont fait appel au bijoutier de Cleveland, Webster Clay Ball, afin de mettre en place un système de chronométrage précis et cohérent pour les chemins de fer américains.
Ball a instauré des normes en matière de montres et de chronométrage sur l’ensemble du réseau ferroviaire. Il a imposé des contrôles bimensuels de toutes les montres portées par les cheminots, exigeant qu’elles soient réglées à trente secondes près par jour, ce qui leur a valu la réputation d’être toujours à l’heure.
Ce souci de précision est aujourd’hui encore au cœur de l’identité de la marque, inspirant des designs fonctionnels et pratiques, comme ici avec cette Engineer II Marvelight. Le logo « RR », pour « railroad » (chemin de fer), est toujours une caractéristique essentielle d’une montre Ball, complétée par le médaillon de train au dos du boîtier.
Mais l’Engineer II Marvelight n’est pas qu’une référence au passé : elle présente un ensemble de caractéristiques très modernes qui en font une montre plus robuste que ne le laisse supposer son apparence polie, proche de celle de la DateJust. Le mouvement est doté d’une protection antimagnétique de 4 800 A/m et peut résister à des chocs allant jusqu’à 5 000 g.

Et surtout, on a gardé le meilleur pour la fin : lorsque la lumière s’estompe et que le cadran bleu soleillé n’est plus visible, là où de nombreuses montres utilisent le Super-LumiNova pour illuminer les aiguilles et les marqueurs, cette Ball utilise du tritium. Le Super-LumiNova, une matière phosphorescente, absorbe la lumière et la libère lentement, offrant une lueur qui finit par s’estomper avec le temps si elle n’est pas rechargée.
En revanche, le tritium, lorsqu’il interagit avec du phosphore, émet de la lumière en continu par radioluminescence, car le tritium est un isotope radioactif de l’hydrogène. Mais ne vous inquiétez pas : les particules bêta ne peuvent pas pénétrer la peau et sont ici enfermées dans des contenants en verre.
TW Steel CEO Canteen CE1027
Si vous ne voulez pas que votre montre passe inaperçue, un diamètre de 45 mm et une couleur orange vif feront l’affaire. Si c’est votre cas, TW Steel a le plaisir de vous proposer la CEO Canteen. Bien que ce nom évoque une cafétéria pour chefs d’entreprise, le terme « canteen » fait en réalité référence à son protège-couronne proéminent, qui superpose une couronne secondaire à la couronne principale et est maintenu à l’aide d’un élément flexible, un peu comme un stylo de comptoir. La mention « CEO » est peut-être une convention d’appellation un peu optimiste de la part de TW Steel.

Ces montres « canteen », dont le nom signifie également « gourde militaire » en référence à la façon dont son bouchon est fixé, étaient à l’origine utilisées par les hommes-grenouilles de la marine pendant la Seconde Guerre mondiale, avant que le mécanisme plus complexe de couronne vissée ne soit totalement mis au point. Ce protège-couronne sert à protéger la montre de l’eau plus que des chocs, même s’il y contribue, parfois associé à une grille au-dessus du cristal, un peu à la manière d’un casque de plongée. Il a brièvement équipé les montres militaires Hamilton et Elgin, avant d’être popularisé par la Cartier Pasha de 1943.
Bien que cette TW Steel ait autant de chances d’être portée par un CEO que par un homme-grenouille, son caractère affirmé et coloré, ainsi que son design d’inspiration vintage assorti à un bracelet riveté de style militaire, ne passeront certainement pas inaperçus.
Oris BC4 643 7617 47 64 LS
Si vous cherchez une montre qui ne passe pas inaperçue, vous pouvez vous tourner vers la collection BR-01 de Bell & Ross avec ces imposants modèles carrés inspirés des instruments des cockpits d’avion. Cependant, ces montres coûtent beaucoup plus cher, donc pour notre budget inférieur à 1 000 €, ce n’est pas envisageable.
Mais que diriez-vous d’une montre au style similaire, avec une touche « aviateur », signée par une maison plus ancienne que Rolex, pour un prix nettement inférieur ? Cela paraît trop beau pour être vrai, mais elle existe vraiment. Voici l’Oris BC4.

L’esthétique « montre-instrument » est imposante avec les quatre boulons dans chaque coin du boîtier carré, mais cette Oris ne se contente pas d’imiter la Bell & Ross, elle y apporte son propre style. Ses index et aiguilles blancs bien lisibles sur un cadran noir mat sont des classiques de la montre d’aviateur, tandis que le sous-cadran des secondes et l’anneau des chapitres superposés complètent le look « instrument » de la BC4.
Malgré son prix relativement abordable, la BC4 est dotée d’un mécanisme automatique suisse et son boîtier de près de 44 mm lui confère une allure imposante au poignet. Pour ne rien gâcher, Oris est une maison plus que centenaire, qui comptait parmi les plus grands noms suisses et qui a été dirigée pendant un certain temps par Jacques-David LeCoultre, celui-là même qui s’est allié à Edmond Jaeger pour former Jaeger-LeCoultre.
TAG Heuer Micrograph CS111B.FT6003
Si vous connaissez un peu TAG Heuer, il ne vous aura pas échappé que la marque est quelque peu obsédée par le chronométrage, en particulier celui des voitures de course. Heuer, comme on l’appelait à l’époque, a fait ses premières armes en fabriquant des chronomètres de tableau de bord pour les voitures de rallye, avant de devenir le premier sponsor de F1 à ne pas être une marque de sport automobile, ouvrant ainsi la boîte de Pandore. La tradition est évidente, même sans parler de la multitude de montres portant le nom de circuits de course célèbres tels que Monaco, Silverstone, Monza, etc.
Ce que l’on connaît moins, c’est la quête de TAG Heuer en matière d’avancées technologiques, toujours dans le but de chronométrer tout ce qui va très vite. Or, plus un engin est rapide, plus il faut des mesures fines, et la plupart du temps, un mouvement de montre ne peut même pas enregistrer avec précision un dixième de seconde.

C’est là qu’intervient la Heuer Mikrograph de 1916, une montre de poche capable de mesurer non seulement un dixième de seconde, mais aussi un centième. Le calibre 601, qui bat à 360 000 alternances par heure, est impressionnant par sa précision douze fois supérieure, mais il l’est tout autant par son prix très bas de 100 francs suisses.
L’esprit d’innovation abordable était toujours de mise en 2002 lorsque TAG Heuer a rendu hommage au Mikrograph avec un nouveau Micrograph numérique, avec un C au lieu d’un K. Mais la variation orthographique n’était pas le plus grand changement : cette édition limitée de 999 pièces, avec son affichage inversé, ne ressemble à rien de connu. Son design plébiscité se situe entre le rétro et le futuriste et, grâce à sa fonctionnalité de chronométrage au centième de seconde et à son prix inférieur à 1 000 €, elle constitue un choix intéressant pour ceux qui souhaitent se faire remarquer.
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